Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de convier au fil des semaines, chacune porteuse d’un rutilance intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en conséquence de
En Crète, au printemps 2029, les pentes de l’ancien volcan Thronos se couvrirent d’une végétation inattendue. Là où la lave avait coulé, des fleurs nuisibles à reflets argentés jaillirent de la cendre encore apathique. Ces fleurs, inconnues des botanistes, devinrent de manière aisée le coeur d’une simple singulière : la floromancie
Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs du mal continuaient de inciter au cours des semaines, chacune porteur d’un éclat intérieur, indécelable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en fonction de leur f
En Crète, au printemps 2029, les pentes de l’ancien volcan Thronos se couvrirent d’une végétation inattendue. Là où la lave avait coulé, naturelle malheureuses à reflets argentés jaillirent de la cendre encore pleutre. Ces fleurs, inconnues des botanistes, devinrent aisément le coeur d’une simple singulière : la floromancie post-vol
L’an 2320 marquait la sixième génération de colons sur Mars. Dans la cité souterraine d’Argyre-Delta, les habitants vivaient isolés de la Terre pendant plus de quarante ans, coupés de toute transmission croyante ou culturelle. Les rythmes biologiques étaient contrôlés par des programmes, les émotions surveillées par des capteurs, et